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OUEST FRANCE – Parution d’un article sur l’ouvrage publié par notre associé Hugues de PONCINS

6 juillet 2022 -

https://www.ouest-france.fr/normandie/alencon-61000/randonnai-la-complicite-de-deux-ornais-d-adoption-debouche-sur-un-livre-e16e4226-c6f6-11ec-85c7-ebe232218271

 

Randonnai. La complicité de deux Ornais d’adoption débouche sur un livre

Didier Durandy, coach, vit à Brullemail. Hugues de Poncins, avocat, à Randonnai (Orne). Ils ont coécrit un guide pour réussir sa prise de poste, nourri de leur expérience professionnelle auprès de cadres dirigeants et chefs d’entreprise.

Didier Durandy, à gauche, et Hugues de Poncins, à droite, partagent une belle complicité née de leur collaboration professionnelle.
Didier Durandy, à gauche, et Hugues de Poncins, à droite, partagent une belle complicité née de leur collaboration professionnelle. | OUEST-FRANCE

Le premier est coach, le second avocat. Ils ont en commun de vivre dans l’Orne, à plein temps ou en pointillé. Mais Didier Durandy et Hugues de Poncins ne se sont pas rencontrés à l’église de Brullemail ou à la pharmacie de Randonnai. Depuis plus de cinq ans, ces deux natifs de Paris s’emploient à résoudre ensemble des problèmes qui surviennent dans le monde du travail. Et ils viennent de publier un ouvrage commun.

Réussir sa prise de poste en 7 étapes, c’est le titre du livre qu’ils ont coécrit et qui est édité par la très sérieuse maison Dunod« C’est une première pour moi, sourit Hugues de Poncins. Mais Didier, c’est un serial écrivain. » Dans le salon de l’ancien presbytère de Brullemail, où, il y a trois ans, Didier Durandy s’est installé avec sa compagne Nathalie de Chaumont, artiste peintre, les deux hommes affichent une belle complicité.

Des compétences professionnelles très complémentaires

Diplômé de Sup de Co, Didier Durandy, 76 ans aujourd’hui, a d’abord travaillé dans la banque à Paris, Madrid, Londres et New York. Devenu conseil en management et chasseur de têtes, il a réalisé des missions dans une vingtaine de pays, pour près de deux cents entreprises et recruté des dizaines de personnes. Une expérience qu’il continue de mettre à profit auprès de cadres dirigeants et chefs d’entreprise.

Hugues de Poncins, 51 ans, est « avocat des ressources humaines », rattaché au barreau de Paris. Il a d’abord évolué dans l’industrie, travaillé au sein du groupe PSA Peugeot-Citroën et dans de grands cabinets, avant de créer le sien, Menlo avocats. Spécialiste en droit social, il associe ses compétences à celles de Didier Durandy, en particulier dans les situations de crise que peuvent connaître les entreprises.

L’envie de donner des conseils pour améliorer les choses

Ensemble, ils font le constat que trop de recrutements conduisent à des échecs. C’est ainsi que naît l’idée du livre. « Nous partons des mauvais exemples pour proposer des conseils et des solutions », résume Hugues de Poncins. « Il y a, par exemple, des cas où le descriptif du poste ne correspond pas à la réalité, ajoute Didier Durandy. Ou d’autres où les candidats ont menti sur leurs compétences… »

L’un et l’autre ont des tas d’histoires à raconter, qui en disent long sur le monde du travail en France et à l’étranger. Didier Durandy est animé par l’envie « d’améliorer les choses. Mon métier, plaisante-t-il, c’est l’audit du bordel. J’essaie de contribuer à ce que ça marche mieux après mon intervention qu’avant. » Hugues de Poncins, lui, a à cœur que le droit du travail soit respecté.

Amoureux de l’Orne, passionné de piano et de jazz

Et quand ils ne travaillent pas, l’un et l’autre se consacrent à leurs passions. Hugues de Poncins aime la chasse, les chevaux, la campagne. Et l’Orne où il a voulu se poser avec sa femme et ses enfants il y a près de cinq ans. « Je suis attaché à ce département. Mon grand-père, Raoul de Poncins, y a été longtemps directeur du Haras du Pin. Encore aujourd’hui, on me parle de lui. »

Didier Durandy, lui, joue du piano. Amoureux de Jean-Sébastien Bach, il est surtout un jazzman mordu de blues et de boogie-woogie. « C’est plus drôle que la Marche turque », s’amuse-t-il avant de raconter joyeusement comment, un soir à Paris, il s’est retrouvé à improviser Makin’Whoopee alors que Nina Simone avait, sans prévenir, quitté la scène où elle donnait un concert.

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